Mitt Romney, le GOP, et l’Amérique

J'ai signalé une entrée de blog le 18 septembre intitulée, « nous avons besoin d'un héros, » et j'ai pensé que j'ai repéré un l'autre jour. Newt Gingrich, vous êtes venu en avant et avez parlé votre esprit. Vous avez tenu une base morale et avez dit que vous « avez été disposé à prendre la chaleur » pour elle.

 

Vous avez bien obtenu la chaleur.

 

Michelle Bachman et Mitt Romney ont sorti leurs matchs et ont essayé d'allumer les feux sous vous ainsi vous ne seriez plus une menace pour leurs offres de nomination. Michelle Bachman vous a appelé, « Le G.O.P le plus libéral. Candidat sur la réforme de l'immigration. » Ce que je devine a été censé être une insulte. Mitt Romney a essayé de mettre des mots dans votre bouche, exagérant votre position dans un effort de vous rendre vulnérable à une attaque à partir de votre propre partie. Nous voyons clairement de ce qu'il est fait.

 

Maintenant nous vous voyons hésiter un peu, vous énonçant ne soyez pas pour l'amnistie, et 25 ans devrait être le point de coupure pour n'importe qui qui est venu ici illégalement pour solliciter « une carte rouge » qui les laisserait vivre ici, mais pas comme citoyens. Excusez-moi, mais il y a 25 ans était 1986, et n'importe qui qui était aux Etats-Unis en 1986 a été offert l'amnistie à l'époque. Une coupure de 25 ans ne semble vraiment aucun raisonnable.

 

M. Gingrich, vous n'avez pas besoin de soutenir vers le bas. Il n'y a rien moralement mal dans ce que vous avez dit, et vous le connaissez– c'est pourquoi vous l'avez dit.

 

Ce qui je suis sûr chaque Américain dans ce pays considère d'être vrai est qui ont tous les politiciens que nous avons besoin. La quelle Amérique a besoin en ce moment est un héros. Nous avons besoin de quelqu'un pour se lever pour ce qui est exact, plus que pour ce qui est populaire.

 

Tout d'abord ceci volerait apparemment face à quelle politique est tout environ, mais je prie de différer.  Nos plus grands hommes d'état se sont tenus selon le principe quand il aurait été plus facile de faire écho la vue populaire. Ceux qui ont fait et ont dit ce qui était populaire à l'heure actuelle, ne seront pas rappelés longtemps, ni seront célébrés pour leur contribution à la médiocrité, ou à l'immoralité.

 

Aidez-nous à rapporter cela que nous semblons perdre plus de chaque année–notre fierté nationale. Nous avons vissé l'économie mondiale, nous étions embarrassant mal au sujet des armes de destruction massive en Irak, nous ne savons pas sortir de l'Afghanistan, nous maintenons des personnes emprisonnées indéfiniment sans frais chez Guantanamo Bay, et nous avons obtenu les armes à feu de expédition éclatées au Mexique. (Comme nous avions besoin vraiment de celui-là.) Chaque fois que nous allons dormir la nuit nous nous demandons quelle nouvelle polémique nous pouvons trouver nous-mêmes au milieu du demain.

 

Quand vous avez parlé pour une nation qui n'a pas cru qu'il faut casser des familles– J'ai commencé à revoir les vagues ambres du grain. Quand vous avez parlé pour une nation qui évalue des amis et des voisins au lieu de créer une zone de guerre culturelle et sociale ; J'ai attrapé un aperçu d'une « confrérie de mer vers la mer brillante. » Quand vous avez dit que vous prendriez la chaleur pour qu'essayer nous restitue de la fierté nationale, j'avez clairement vu quelqu'un « qui plus qu'individu que leur pays a aimé. Et pitié plus que la vie ! » .

 

L'Amérique ne jette pas sa grâce sur le paresseux, ou le timide, ou l'égoïste. L'Amérique a besoin d'un grand chef maintenant autant que n'importe quelle autre heure dans notre histoire. Nous perdons la confiance du monde en notre solvabilité financière. Notre réputation en tant que despote à de plus petits pays disparaît non réprimée en dépit de nos meilleures intentions. Et notre incapacité de monter au-dessus de nous-mêmes et de sortir de notre propre manière quand il s'agit de faire bon accueil « au fatigué, les pauvres, les masses blotties aspirant à respirer librement » est tragique. Si le moyen de ces mots rien plus alors ils est frappé du monument, ou pour toujours est le critère par lequel notre échec comme grand et libre pays est mesuré.

 

M. Gingrich, je comprends que vous craignez votre propre partie vous allume, car vos adversaires voudraient que vous croyiez. Je comprends la crainte que vous devez juger quand même vos conseillers te disent que votre position sur l'immigration pourrait vous perdre la nomination.

 

C'est la vraie chaleur. Mais crainte pas ; vous n'êtes pas seul. Vos adversaires se sentent que lui trop ou eux n'aurait pas tiré de retour avec Qu'est ce que foley était à leur commande. N'écoutez pas la voix derrière votre esprit vous indiquant faire un pas à partir d'une position qui est moralement exacte.

 

Dans dix ans et après, quand nous regardons en arrière sur cette bataille, comme nous avons fait chaque fois nous avons combattu pour défendre une idée morale contre un faux mais position populaire, vous pouvez être sûr que vous êtes à la société d'autres grands hommes dans l'histoire de notre nation.

 

Il prend la chaleur d'un four puissant à la simple roche de forge dans l'acier, et un battage implacable pour former cet acier dans une épée. Vous êtes dans un endroit en ce moment où vous pouvez être cette épée, un exemple brillant de ce qu'est bon au sujet de ce pays, et votre concurrence politique, qui est faite de matériaux plus mous et plus malléables, serez réduit aux cendres et relégué dans la poubelle d'histoire.

 

Ainsi M. Gingrich, quand vous êtes en retard la nuit, et les événements du jour jouent maintes et maintes fois dans votre tête, et vous finissez le jour avec cette question un tout-puissante : Comment l'avenir verra Newt Gingrich ? » Il y a vraiment une manière plus facile de poser cette question qui devrait rendre la réponse parfaitement claire, « sont vous Lincoln ou sont vous une Douglas ? »

 

Mike J Quinn

 

Citoyen,

Les Etats-Unis d'Amérique

 

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  1. […] with all the hubris the Republican party has been showing this past two years: acting like spoiled children; refusing to play nice with […]

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